vendredi 14 octobre 2011

"Les yeux jaunes des crocodiles" de Katherine Pancol

"Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être. Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c'est la vie".
 
 
 
"Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser… Deux bras qui enlacent ou qui tuent… Un homme inquiétant, mais si charmant… Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment… Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour… Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants… Un père, là-haut dans les étoiles… qui murmure à l’oreille de sa fille... Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage… Des personnages qui avancent obstinément... comme des petites tortues entêtées… qui apprendraient à danser lentement, lentement… dans un monde trop rapide, trop violent..."

"Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
"

Je ne sais pas si il est nécessaire de présenter cette trilogie... A force d'en entendre parler partout, je me suis laissée tenter!

Le premier livre m'a beaucoup plu. J'ai plongé dans la vie de Joséphine sans retenue! Le ton est juste, l'écriture fluide, les péripéties amusantes. Une vraie bouffée de bonne humeur.
Le deuxième et le troisième m'ont moins enchantée. Dans le premier, la vie de Joséphine est ordinaire. Dans les autres, Katherine Pancol va chercher des situations extrêmes, complexes...moins proches de nous. Certains passages sont beaucoup trop longs! Le personnage de Junior m'a franchement fatigué et ses dons de "voyance" à la fin du troisième m'ont exaspérés...dommage...

Un bilan mitigé donc pour moi...

Malgré tout, j'aime la façon d'écrire et de raconter de K. Pancol et je vais surement me laisser tenter par ces autres livres.

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